Suicide : bibliographie

sous la directions de F. Ladame, J. Ottino, C. Pawlak Paris, Editions Masson, coll. Médecine et Psychothérapie, 1996
*Analyse épidémiologique et cliniques du geste suicidaire centrée sur les adolescents, puis abords thérapeutiques possibles.
Ouvrage technique, riche en références épidémiologiques européennes.Tweeter

Marie CHOQUET et Virginie GRANBOULAN (sous la direction de), Editions EDK, 2004

Ce livre rend compte des résultats de l'enquête "Jeunes suicidants à l'hôpital", lancée à l'initiative de la Fondation de France et réalisée sous la direction de Marie Choquet (INSERM U472) et de Virginie Graboulan (CHU Créteil).
L'hospitalisation est une étape clé dans l'histoire d'un jeune suicidant. Elle permet de travailler sur l'histoire du patient et d'organiser avec lui de réels temps d'échange. Un véritable bilan psychiatrique est par ailleurs indispensable.Enfin, elle peut permettre un engagement des parents et du jeune dans une démarche qui conditionne la suite de façon évidente. Seulement 1 jeune sur 2 est suivi après sa sortie de l'hôpital et dans 40% des cas il va rater des rendez-vous ou interrompre les soins. Leur situation s'est cependant partiellement améliorée même si d'autres troubles s'installent dont on peut redouter la gravité à long terme.
Même s'il est important d'améliorer la qualité de la prise en charge des adolescents suicidants, le pôle hospitalier n'est cependant qu'un des éléments du dispositif de prévention et de soins.Tweeter

sous la directions de Ph. JEAMMET et E. BIROT
Paris, PUF, coll. Psychiatrie de l'enfant, 1994
"Malgré la pression des questionnements et la multiplicité des réponses proposées, le suicide demeure une énigme, qui se double à l'adolescence d'un scandale. Pourquoi certains jeunes en viennent-ils à tenter de mettre fin à leurs jours?
Quelle que puisse être la réalité de l'influence de la société, des contraintes familiales et transgénérationnelles, elle vient à la rencontre d'une vulnérabilité psychique particulière que le simple abord diagnostique ne saurait circonscrire.
Cette étude, menée sur un grand nombre de cas, met en évidence, dans la dynamique psychique du jeune suicidant, les points charnières et les zones de fragilité d'un mode de fonctionnement mental non univoque, mais particulièrement sensible aux pressions internes autant qu'externes susceptibles de provoquer le geste suicidaire."Tweeter

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L'INPES consacre un rapport très complet sur la question des risques suicidaires dans les populations de minorité sexuelles.

 L'homosexualité est un facteur de vulnérabilité au risque suicidaire (INPES 2010,  E. Charbonnier). Ll'INPES complète ses travaux dans cette nouvelle édition en faisant le point sur les résultats des dernières recherches ainsi que sur les plan d'actions possibles.

A lire attentivement!